Ceci est mon commentaire du 16 juin, trois jours avant le second tour des législatives. Voir plus bas l’édito que j’ai publié après le second tour de la présidentielle. 

« Pour la première fois au XXIe siècle, la gauche en France est rassemblée pour mettre en œuvre une rupture avec le néolibéralisme. Tournant le dos aux politiques qui accroissent les inégalités, fragilisent les services publics et abiment les écosystèmes, la Nupes porte aux législatives un projet de transformation sociale et écologique. Son but est de faire advenir au cours de la prochaine mandature une société plus égalitaire et solidaire, respectueuse des impératifs écologiques. »

Voilà ce qu’ont déclaré dans une chronique commune des dizaines d’économistes qui soutiennent la NUPES, dont Jacques Généreux et le très brillant Thomas Piketty, certainement l’économiste français le plus célèbre dans le monde.

Dimanche, vous aurez à choisir entre 2 modèles : le passé et l’avenir.

Le passé, c’est une politique qui depuis des dizaines d’années ne favorise que les plus riches ; c’est l’injustice, le rouleau compresseur social, les détenteurs du capital qui s’approprient la richesse publique, et au bout la catastrophe écologique due à l’inaction climatique.

L’avenir, c’est la solidarité, un meilleur partage des richesses, la satisfaction des besoins fondamentaux comme objectif primordial, la restauration de la confiance et la vision d’un autre monde dans lequel chacun aura sa juste place.

Entre les deux, mon choix est fait. Il faut tourner la page du passé et se tourner vers l’avenir.

Et que l’on ne me parle pas de Jean-Luc Mélenchon, je me fous de JLM !
Ne répondez pas à cette chronique en me faisant la liste des défauts de JLM. J’en ai plus que lui !
Au fait, et vous ?…

Si vous pensez vraiment qu’il vaut mieux voter Macron parce que JLM a des défauts, s’il-vous-plaît, désabonnez-vous de tous mes réseaux, je ne veux plus vous voir et plus vous entendre.
Bon vent, portez-vous bien. Nous ne voyageons pas dans le même train…

Mélenchon est un démocrate qui est entouré d’une foule de talents dans tous les domaines, qui porteront ensemble le projet de la Nupes.
Macron est un autocrate qui gouverne seul de l’Élysée.

 

Dimanche, votez juste, votez pour l’avenir, votez Nupes.

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Élection présidentielle 2022 – la messe est dite. Non, pas tout-à-fait…

25 avril 2022

Bien, malgré mes efforts (voir mes éditos d’avant le premier tour, et de l’entre-deux-tours) – et pas que les miens ! –, les jeux sont faits. On est repartis pour 5 ans de macronnie.

Mais tout espoir n’est pas perdu, il nous reste encore une carte maîtresse à jouer.
Lors des législatives, il faut tout faire pour qu’une opposition forte à l’Assemblée nationale tempère ses ardeurs despotiques du président réélu et l’oblige à conduire une véritable politique écologique et de justice sociale.

En effet, si E. Macron a promis que son second quinquennat serait marqué du sceau de l’écologie, on ne devient pas écolo comme ça, d’un coup de baguette magique.

De fait, ni les deux ministres chargées du thème ni les premiers pas du gouvernement Macron 2 ne permettent d’espérer des temps meilleurs pour la planète…

Après une campagne sans souffle ni élan, on assiste aujourd’hui à un début de quinquennat poussif et sans marqueur de changement.

Macron va nous refaire du Macron, peut-être en pire. Au secours !

Encore une fois, j’appelle donc tous ceux qui aspirent à un autre monde à voter pour la Nouvelle union populaire écologique et sociale dès le premier tour dimanche prochain.

Le discours aux relents révolutionnaires prononcé par E. Macron au soir de sa réélection a été indigne et ridicule ; il s’est moqué des français. Non, il ne faudra pas compter sur lui pour faire la révolution !
Pour preuve, les 3 ministres principaux maintenus à leur poste, Bruno Lemaire, Gérald Darmanin et Éric Dupont-Moretti. Les mêmes pots, la même tambouille… 

La révolution, il va falloir que le peuple de France la fasse… Et c’est possible les 12 et 19 juin prochains.

La NUPES représente la seule alternative réelle à la dictature du capital et de la finance dont Macron est le porte-drapeau, véritable rouleau-compresseur des petits, des « sans-dents », de la France du bas.

Si mon discours vous plaît, n’oubliez pas de vous abonner à ma Lettre d’info ici dans la colonne de droite. Restons en contact ! 

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