Nous vivons une époque formidable !
L’humanité semble plongée dans un chaudron ardent, un creuset d’idées et d’énergies nouvelles qui témoignent d’une mutation globale de la conscience, et, beaucoup le croient, d’un probable changement de civilisation.
Les signes en sont multiples, dans tous les aspects de la vie.
Les 40 économistes experts du LEAP (Laboratoire européen d’anticipation politique) annoncent que « la crise systémique globale est désormais entrée dans sa phase de dislocation géopolitique mondiale, même si les médias ne commencent que timidement à interpréter les bouleversements historiques qui se déroulent sous nos yeux. » (GlobalEurope Anticipation Bulletin, Juin 2010).
On peut les croire ; depuis 2005, l’actualité valide en permanence la justesse de leurs analyses et prévisions.
D’autres économistes de renom, tels Philippe Dessertine (directeur de l’Institut de haute finance, professeur à l’université Paris X), annoncent l’effondrement du système économique global conçu après la seconde guerre mondiale. Dessertine est l’auteur du livre Ceci n’est pas une crise – Juste la fin d’un monde.
Le ton est donné. La débâcle est proche.
Dans ce contexte, nombreux sont ceux qui cherchent à donner un sens nouveau à leur vie.
Des mots comme fraternité, partage, justice, paix, coopération connaissent une acceptation croissante.
De plus en plus d’hommes et de femmes – et certainement la plupart des lecteurs de ce magazine- se posent des questions existentielles : Ma carrière ou ma vie ? De l’argent ou du sens ? Avoir ou être ?…
Rien de nouveau sous le soleil. Mais l’illusion fallacieuse du progrès économique, du bonheur automatique par l’accumulation de biens, nous a plongés dans une telle hypnose collective que les grandes questions de la vie ne nous effleurent le plus souvent qu’une fois bien avancés dans le tunnel sans issue de la folie ordinaire.
Heureusement, il n’est jamais trop tard pour s’arrêter et réfléchir un peu…
Comment peut-on vivre une vie pleinement, profondément épanouie sans savoir d’où l’on vient, où l’on va, pourquoi on y va, et comment on peut y aller ?
Le but de la vie n’est pas de fonder une famille et élever des enfants, ce n’est pas de construire une maison, d’avoir une « situation » et devenir riche ; ce n’est pas non plus de vivre vieux ou en bonne santé !
Tous ces objectifs, pour respectables et utiles qu’ils puissent être, n’en demeurent pas moins secondaires.
Ils ne sont que des supports d’expérience, des outils évolutifs.
Les enseignements de la Sagesse éternelle affirment que l’homme, le règne le plus abouti sur cette planète, est loin d’être arrivé au bout de son chemin évolutif. Il est lui-même en devenir, et appelé à un destin supérieur.
Sans anticiper sur ce que sera ce destin, il semble raisonnable – afin de ne pas rater le coche… – de s’intéresser avec bonne volonté et un esprit ouvert à des sujets qui « montent » : la réalité de la vie extraterrestre, la permanence de la conscience après la mort du corps physique (études sur les EMI/NDE), la recrudescence extraordinaire des phénomènes de type miraculeux dans le monde entier (statues ou icônes qui pleurent, etc.), ou encore le pouvoir de la pensée sur la réalité physique…
Apprenons à vivre, plutôt qu’à gagner notre vie.
De nombreux outils peuvent nous y aider. La méditation, l’introspection, la prière scientifique, la pensée positive, la communication non-violente, l’EFT (technique de libération émotionnelle), toutes ces pratiques, modernes ou très anciennes, ont largement fait la preuve de leur efficacité.
Voici brièvement énoncées quelques pistes à explorer, dans une démarche de développement personnel indispensable pour accompagner avec joie la naissance d’un nouveau monde où l’humanité connaîtra des accomplissements sans précédent.
Article publié dans la revue Soleil Levant – septembre 2010
merci pour la plante et les etres vivans…….
Paix amour pour tous amin………